véro le blaireau

Trackbacks

Aucun trackback.

Les trackbacks pour ce billet sont fermés.

Commentaires

1. Le 17 février 2009 à 09:39, par Anne-Marie

Un baleineau a été retrouvé dans les filets des pêcheurs...(dixit Hifi)et deux sous-marins (nucléaires!) se sont heurtés en mer!
Pas de problème!La vie est belle!

2. Le 17 février 2009 à 10:29, par martine

Pour apporter une pierre à l´édifice: si mes souvenirs sont exacts, il y aurait eu l´année dernière 25000 accidents de voitures causés par des animaux sauvages. C´est vrai, enfin, qu´est-ce qu´ils viennent fiche sur les routes ces idiots, ils ne peuvent pas rester sagement dans les forêts, les forêts que nous leur laissons généreusement. C´est d´une ingratitude pas possible, un animal sauvage, aucunes manières! Allez, messieurs les chasseurs, tuez-les tous, dieu reconnaîtra les siens!!!
Trêve de plaisanteries. J´ai aussi entendu l´information au sujet du baleineau pris dans les filets d´un pêcheur: donnée le matin sur France Inter elle semblait beaucoup divertir les journalistes ainsi que le pêcheur interviewé. Il décrivait sa pêche "miraculeuse" comme s´il avait raconté une bonne blague au café du port.

3. Le 19 février 2009 à 11:01, par véro

Tant qu'on ne retrouve pas de baleineau écrasé sur le bord de la route ou de blaireaux dans les filets des pêcheurs, tout va bien ...
Hé les filles,(anne-marie et martine) vous auriez pu me dire que les textes étaient jolis, au moins celui de Sylvain Tesson si vous n'aimez pas les autres...Ca sert à quoi les mots ?

4. Le 23 février 2009 à 11:59, par Anne-Marie

Très jolis tes textes...
Info:
Monsieur le Préfet, Messieurs, Mesdames, Maires, Chefs de services,

Des citoyens encore en colère.

Souvenez vous des 4 petits sangliers tués à Essey lès Nancy, de la maman et de son petit sauvé à Chaligny, du petit "Bulldozer blessé " ,réfugié chez des riverains à Port sur Seille,(encore lors d'une battue), de la battue du 27 janvier 2009 au cours de laquelle plus d'une trentaine de sangliers ont été abattus .
Tous ces évènements ont déjà soulevé la colère et l'indignation de nombreux citoyens et voilà que nous apprenons qu'une autre battue doit avoir lieu le vendredi 27 février en banlieue de Nancy .
Excédés de ces pratiques indignes de l'homme du 21ème siècle seul responsable de cet état de fait, nous demandons l'annulation de cette battue destructive .
Il y a d'autres solutions plus respectueuses et moins cruelles .Il serait temps de les mettre en pratique..

Espérant être lus et compris , nous vous prions ,de croire Monsieur le Préfet, Messieurs, Mesdames, Maires, Chef de services, en notre parfaite considération.

Nom :
Prénom :
Ville :
Pays :

5. Le 23 février 2009 à 14:32, par Véro

Anne-Marie, t'es infernale !
Tu me fais penser au lapin Duracell... (Des piles de merde qui ne devraient plus exister, entre nous soit dit !)

"Il y a d'autres solutions plus respectueuses et moins cruelles .Il serait temps de les mettre en pratique.."
Lesquelles ? va dire le lecteur moyen qui ne connait rien aux bêtes féroces ... Si tu as un lien vers une info vite fait ...merci !

6. Le 24 février 2009 à 08:38, par Anne-Marie

Merci pour le compliment, le petit lapin a aussi une encéphale entre les deux oreilles ...
Voilà la réponse:
::. Pour en finir avec la chasse. La mort loisir, un mal français

Tel est le titre d’un livre que je publie ce jour aux éditions IMHO collection « les radicaux libres ».

Je n’ai pas écrit ce livre contre quiconque. Les attaques personnelles, les dénigrements et les injures qui caractérisent si souvent certaines propagandes adverses ne suscitent chez moi qu’une dose inépuisable de mépris et je ne saurais m’y abaisser.

Mon engagement militant repose d’une part, sur une conviction rationnelle de l’unité ontologique du vivant, d’autre part, sur une passion amoureuse : l’amour de la Nature.

Or, des humains cruels, vandals, irresponsables souillent, écrasent, polluent, tuent, artificialisent la planète entière réduisant l’animal au rang de chose et l’espace en occasion de profit ou de défoulements puérils.

J’entends bien que la chasse, au fusil, à la dague, au piège ou au poison, n’est pas l’unique agression contre la vie dans sa merveilleuse diversité. L’homme détruit autant par cupidité que par arriération.

Ce que je dénonce est une approche négationniste du caractère sensible de l’animal et de la valeur intrinsèque de la Nature, c’est une culture de mort perpétré aux noms menteurs de la tradition ou du faux progrès.

L’idiot de village qui trompe son ennui à tirer tout ce qui passe devant sa carabine, sans souci de « gestion de la faune », avec la vague désapprobation dde ces collègues chasseurs et le promoteur avide qui transforme une forêt en golf et résidence de loisir font œuvre de mort.
Leurs gestes dérisoires, multipliés par millions partout sur la planète annoncent l’anéantisssement de toute vie.

Le vieil enfant attardé qui à quarante ans agresse la montagne avec son quad vrombrissant et la multinationale semencière dispensatrice de biocides redoutables font œuvre de mort.

La chasse, mort loisir, guerre injustifiée faite à la faune, représente le sommet de ce comportement violent, brutal, méprisant envers l’animal et la Nature.

Une course de vitesse s’est engagée entre l’extinction des espèces et une prise de conscience des hommes de leur rôle funeste sur le vivant.

Partout, la chasse régresse et tend à disparaître.
La France fait exception à cette évolution des mentalités et des lois.
Nous devons cette paralysie à l’omnipotence d’un lobby chasse reposant sur une organisation corporatiste et à une « classe politique » ringarde, prisonnière d’une vision décalée de la société.
Tout débat au parlement français tourne au délire pro-chasse alors que ce loisir ne recueille qu’une infime minorité d’adeptes : moins de 2% de la population.
Le mal français résulte d’une carence du système représentatif et ce pays est l’un des moins démocratiques d’Europe occidentale. Nous en avons la preuve par la chasse.
Que 75% des Français souhaitent l’abolition de la chasse à courre, tout aussi nombreux que ceux qui souhaitent labolition de la torture tauromachique, n’impressionne nullement un législateur aux ordres de structures corporatistes héritées du passé.

Rétablir un véritable équilibre écologique entre espèces proies et espèces prédatrices, assurer la diversité biologique, permettre aux humains et aux autres espèces de vivre côte à côte sur des territoires surpeuplés en bipèdes, passent par l’abolition de la chasse, mort loisir.

Le livre « pour en finir avec la chasse » relate le combat des associations de protection de la Nature, les blocages institutionnels, les raisons morales d’un engagement et une définition d’une pensée écologiste.

Je l’ai écrit avec l’espoir de l’avènement d’un monde sans chasse, d’une réconciliation de l’homme avec la Nature qu’il est grand temps d’aimer.
Gérard CHAROLLOIS

7. Le 24 février 2009 à 14:05, par Anne-Marie

oups! Une t^te, une cervelle, une boîte cranienne mais UN encéphale un lapin et un blaireau...

Ajouter un commentaire

Les commentaires pour ce billet sont fermés.