véro le blaireau

 

Bienvenue au terrier!!!

Encore en travaux, mais vous pouvez deja visiter. Il faut fouiller pour trouver les liens .

Vous pouvez placer ici tout ce qui vous plaira. Il vous suffit de trouver la bonne boite

Ce blogue est construit "autour" (plutot au-dedans) d'un texte de Boris Vian : LA CANTATE DES BOITES Vous le trouverez en integralite dans "Les Poemes inedits" et de-ci de-la (mais cahin-caha) sur ce blog, sous La cantate des boites J'aimerais que chaque boite s'ouvre sur une surprise, un reve, une reflexion, un sourire ou une grimace ... Ya plus qu'a s'y coller !

Pour vous aider :

Billets sur l'ecologie la decroissance

L'humour que j'aime

L'echo de la yourte

Billets politiques

Les extraits des beaux textes que j'aime

Les idees

Radio L'ombre

Divers

Les coups de gueule

Encore des coups de gueule, et des coups de coeur itou

Mais mefiez-vous... j'aime pas quand c'est trop bien range

Quant a ceux qui trouveront que le plafond est trop bas, qu'il n'y a pas la clim, que c'est pas joli, (j'ai pas mis de cadres dans les galeries du terrier), que l'odeur est trop forte ... ils n'ont qu'a aller faire un tour en ville !

28 janvier 2008

Femme d'Europe ou fan d'Europe

Il est tard, pour le 4 février, mais bon, je mets quand même ce lien vers des arguments clairs contre l'Europe (pas l'Europe en elle-même, bien sur, mais celle vers laquelle nous allons) ; une façon de voir les choses. Certes pas la seule, mais à bien examiner quand même. Honnêtement, telle qu'elle est présentée là, j'en veux pas. Pour le projet d'une autre Europe, j'ai pas le temps de l'écrire là tout de suite ! Vous me pardonnez ?

L'H.D.B.D. - La définition -

L' H.D.B.D. : un sigle. Peu importe ce que disent les lettres. Je laisse le sigle à votre imagination. Par contre, cela veut dire - pour moi, Maître blaireau du blogue qui décide de ce que mes articles veulent dire ! >>> et donc pour toi aussi lecteur, mon semblable mon frère - cela veut dire, disais-je, que tous les billets portant ce label (hihi) sont de simples cris de colère, et que je n'ai pas pris la peine , ou le temps, de les motiver ou de les argumenter ( dans le corps même du billet) . Juste parce que cela fait du bien, quelquefois, de brailler !
Par contre, cela ne veut dire en aucun cas que je ne sois pas capable d'argumenter très posément ou d'expliquer en trois pages pourquoi je braille en deux mots trois images. Is it clear ? Est-ce clair ?
L'H.D.B.D. est à la fois un chalut qui ramasse des saletés, et les saletés elles-mêmes, fraîchement remontées et gluantes sur le pont. Quelquefois, les vilenies parleront d'elles-mêmes. D'autres fois, non. Mais à chaque fois, ami lecteur, je te raménerai à ma définition , histoire d'être en phase ... :-)

27 janvier 2008

PUBLICITE

Je vous fais cette modeste proposition pour empêcher les enfants ... Si vous voulez en savoir plus, vous trouverez d'autres renseignements ici et encore par ici , euh ... non, peut-être par ici ? Ou plutôt là ?
Non, je galège ... Pour le texte de la pièce, c'est ici . Pour l'auteur de la pièce, c'est là. :-)

L'H.D.B.D. Chapitre deux : ennemie du low-cost

Vous vous souvenez de ce qu'est l'H.D.B.D. ? Un chalut à ramasser les saletés qui traînent ... par exemple les mensonges présentés comme des vérités sur les ondes du service public ... comme dans cette émission de "Service public" d'Isabelle Giordano du 24 janvier 2008 à propos du low-cost, où l'invité principal était Luc Chatel. Un tissu de contre-vérités, dont très peu ont été démenties par l'invité "d'opposition" présent, l'économiste, Liëm Hoang-Ngoc, non pas faute d'arguments, plutôt faute de place pour les caser ... Il serait intéressant de calculer son temps de parole, par rapport à celui du secrétaire de ... Il a eu le temps de placer deux arguments, valables, (une minute pour chacun, chapeau l'artiste. Je n'ai pas le temps tout de suite là maintenant de les retranscrire, mais à l'occasion ...). Une horreur ... Et quand je pense que cet inqualifiable (pas l'économiste, le sous-ministre) emploie, à un moment de l'émission, la même expression que moi "disant qu'il ne fallait pas jeter le bébé avec l'eau du bain", pour parler du low-cost ! J'ai carrément envie de changer le titre de mon billet ! A l'entendre invoquer le Grenelle de l'environnement en cautionnement et garantie de toute cette fiente , et invoquer la liberté de choix ... à la fin de l'émission, j'ai envie de gerber, malgré quelques interventions d'auditeurs citoyens ... Il fut un temps où j'estimais Isabelle GIORDANO ... J'ai du faire erreur dans le dosage d'eau propre et de bébé sale ....Pas l'ombre d'une redéfinition du développement durable. Et même plutôt ironique à l'égard des arguments contre, Isabelle Giordano . A l'heure où je publie, l'émission est encore à l'écoute sur le site de France Inter. Sinon, sachez qu'elle est d'un niveau de réflexion sociétal à peu près aussi élevé que son titre et son sujet. Il reste les commentaires des auditeurs, sur le site. Je n'estime pas utile de recopier les propos de Luc Chatel, que vous retrouverez un peu partout sur Internet. D'ailleurs, c'est à cause d'un commentaire de Frenchfrog sur le blog de SuperNo que je me suis retrouvée à écouter cette horreur, je vais aller lui dire deux mots, à Frenchfrog !
Quant à la phrase, le bébé, l'eau du bain , elle tombe à pic pour que je me rappelle que de nos jours, ma bonne dame, il vaut mieux éviter toute maxime trop réductrice. Qu'à vrai dire, toutes les maximes et citations sont réductrices et qu'on peut les utiliser côté pile ou côté face .... Je me souviens d'une émission de Pivot (Bernard) , au sujet de La Fontaine (Jean de) . Comme l'émission était en période électorale, il était demandé à quelques personnalités représentatives du monde politique leur fable préférée et les raisons de leur choix. J'ai encore l'enregistrement sur une vieille cassette video (obsolete, la cassette, obsolete) de Le Pen (Jean-Marie) et Laguiller (Arlette) qui avaient tous deux choisi la même . Laquelle ? Les animaux malades de la peste ... ;-) Je pense également à ce courriel reçu il y a peu de temps, d'un homme qui se définissait comme "sérieux" . N'adhérant pas à la théorie du réchauffement climatique, il donnait à son courriel, comme titre et argument premier, cette phrase-choc : "Le mensonge, répété suffisamment, devient une vérité". Signé A. Hitler. Le reste de l'argumentation était à l'avenant, le Monsieur n'ayant pas l'air de connaître le cycle du carbone.
Comme quoi il vaut mieux faire de belles et grandes phrases, vérifier en amont et en aval, en comparant les prix et la qualité ... Par exemple, prôner le "low-cost" , dans une politique de civilisation, euh... ça fait quoi, au juste, le mélange ? Que disent les mots ?

13 janvier 2008

Le premier des pires jeux de mots de l'année 2008

Charles Baudelaire, Victor Hugo, Guillevic, Emily Dickinson, Norge, Henri Michaux, Kenneth White, William Blake, Verlaine, Charles Rimbaud, Paul Verlaine, Jean Tardieu, René Char en sont....


Autres boîtes possibles : Baguier, trousse ou boîtillon Utricule ou vésicule Boîte à poudre d'escampette Tabagie, boîte saunière Boîte à prendre les souris Des cancrelats et des savates Ou des oeufs durs à la tomate On peut y mettre aussi des gens

Auto-mobile

L'habitant moyen du pays appelé France manque culturellement cruellement certainement totalement : d'auto-dérision. Dommage ! :-)

J'ai fait un rêve ...

Un rêve ou un cauchemar ? J'ai rêvé qu'ils avaient décidé de tout changer. Le vert ne leur plaisait plus. Les couleurs ne leur plaisaient plus. Ringard, ce pré. Trop moche, cette forêt. Pas assez de fluo. Pas assez de chromo, qu'ils disaient. Et ils avaient trouvé un produit qu'on mettait sur son toit, et qui de là s'infiltrait partout, et qui rendait tout beau et tout fluo. Enfin les enfants vont retrouver goût à la nature, qu'ils disaient. Ils vont retrouver l'univers des jeux vidéo.
En me réveillant, je me suis dit qu'il fallait que je cesse de regarder des cochons fluo sur internet, de lire "Les petites pommes du savoir", où ils expliquent pourquoi les feuilles sont vertes, et que je sois plus assidue au yoga ! Dans le temps, quand je faisais des cauchemars, c'était généralement pour abus d'andouillette. Même plus cette excuse, depuis que je ne mange "plus que des graines" ! (Peut-être un abus de caroténoïdes,dans la soupe de potirons ou le riz au curcuma ? C'est vrai que ça flashe, les couleurs caroténoïdes !) Ou un abus de grog ? Ou un pic de fièvre de trop - pic de fièvre de trop - pic de ...

Le bébé l'eau du bain (épisode deux - Saison : mauvaise)

Un petit exemple vite fait de la difficulté de trier, évoquée dans mon billet précédent. Quelquefois, il me semble que le bébé lavé à l'eau sale est sale. Et que tout le monde s'engueule dans la salle de bains pour savoir d'où vient la crasse. Je trouve cet article paru dans Rue 89 magnifique, magnifique au sens où il pose toutes les questions : science ? éthique ? extrémisme (même quand la croisade est écologique ) ? Quelle eau pour quel bébé ? ... L'article est magnifique, mais pas l'ombre d'une solution ! Pas d'eau pour laver l'eau, et toujours pas d'eau en poudre ...

12 janvier 2008

Mutation culturelle

"(...)Mais soudain, un changement radical se produit, et transforme toutes les attitudes en peu d'années. La mutation culturelle est alors totale, et de façon inattendue, elle est rapide, sans que l'on puisse définir la cause principale. En une génération, la rupture avec le passé est accomplie. La stabilité n'était en réalité qu'apparente(...)" analyse Albert Jacquard à propos de la baisse rapide de la croissance démographique.
Ce qui m'entraîne à penser que d'autres changements, d'autres mutations seraient possibles, mais ... vite, vite alors, parce que chaque lune qui passe amène sa mauvaise nouvelle en plus, comme ces trois videos, que j'ai trouvées sur ce site et qui assombrissent encore le tableau ! . Normalement, une mauvaise nouvelle devrait entraîner quelques réactions positives ...
Et puis, et puis, comme le monde est rond, et qu'il faut toujours boucler une boucle, voici une petite recette de macédoine que j'ai retrouvée :
poésie + jacquard + démographie + patrimoine de l'humanité (et hop!)

et toujours du Jacquard

Vendredi 11 janvier 2008 - Le regard d'Albert Jacquard - France Culture
Nous avons vu que dans le processus de diminution de la fécondité, de nombreux pays ont modifié leur comportement beaucoup plus rapidement qu'il n'était prévu, et surtout, beaucoup plus rapidement que ne l'imagine l'opinion généralement peu informée de ces événements. Ce sont des événements collectifs qui sont moins spectaculaires que l'actualité, mais finalement, leurs conséquences

Lire la suite

encore du Jacquard

Jeudi 10 janvier 2008 - Le regard d'Albert Jacquard - France Culture
Nous avons vu qu'après une période d'un accroissement si rapide qu'il était devenu inquiétant , l'effectif de l'humanité évolue maintenant à un rythme beaucoup plus lent , mais l'opinion publique n'a guère pris en compte cette nouvelle réalité, et conserve l'image d'un tiers-monde abusivement prolifique. Un exemple en est donné par le cas des trois états du Maghreb, l'Afrique du Nord. lls

Lire la suite

11 janvier 2008

Encore du Jacquard

Mercredi 9 janvier 2008 - Le regard d'Albert Jacquard - France Culture
L'effectif de l'humanité a connu au cours de la seconde moitié du 20è siècle un épisode de croissance qui n'avait aucun précédent. A peine plus de 2 milliards au sortir de la guerre mondiale qui avait impliqué tous les peuples, cet effectif a dépassé 6 milliards en l'an 2000. En un demi-siècle, il a été multiplié par trois,

Lire la suite

7 janvier 2008

Tricoter du Jacquard

Lorsqu'un enfant naît, de nos jours, il est tout à fait indiqué de lui tricoter une jolie layette en Jacquard ....
Lundi 7 janvier 2008 - Le regard d'Albert Jacquard - France Culture

Durant le deuxième semestre de l'année 2007, je vous ai proposé quelques réflexions à propos de la spécificité de l'être humain, et surtout des conséquences qu'il convient d'en tirer. Il s'agit d'organiser au mieux, au cours du siècle qui commence, d'une part, les rapports entre les individus, ou entre les communautés , et d'autre part, les rapports définis globalement, entre l'ensemble des êtres humains, et la Planète. La Planète qu'ils ne quitteront pas.
J'ai insisté sur le constat que tous ces rapports viennent de changer profondément de nature et que tous les projets que nous faisons maintenant doivent tenir compte de nouvelles conditions. Presque tous doivent être passés au crible de la critique, être renouvelés, en n'hésitant pas à faire appel à l'imagination. Ces conditions inédites résultent essentiellement d'une véritable explosion des pouvoirs que nous nous sommes attribués. Ainsi, dans la lutte contre la maladie, les succès se sont multipliés. L'espérance de vie, qui, dans les conditions naturelles, n'atteint qu'à peine trente ans, dépasse aujourd'hui quatre-vingt deux ans dans les nations les plus développées. Un enfant sur deux n'atteignait pas son premier anniversaire, et ce tribut payé à la maladie n'est plus que de un nouveau-né sur trois cents à peu près. C'est toute la répartition de la population qui en est modifiée. La célèbre pyramide des âges a fait place à un obélisque.
Des progrès tout aussi spectaculaires ont été obtenus tout récemment dans la lutte contre les distances. Tout au long de la plus grande part de leur histoire, les divers peuples ont été répartis sur les continents en n'ayant que des contacts épisodiques les uns avec les autres. Les déplacements des individus, le déplacement des marchandises, des informations, n'ont longtemps bénéficié que de progrès techniques extrêmement limités. Ces transferts exigeaient la même durée, par exemple, à l'époque de Napoléon ou à l'époque d'Hannibal. Napoléon, je l'ai déjà remarqué, a mis autant de temps qu'Hannibal pour traverser les Alpes.
En deux siècles, tout a changé.
En domestiquant les ondes hertziennes, nous avons réduit à zéro le temps de transmission des mots ou des images. Les humains se sont "délocalisés", ou plutôt sont devenus ubiqüistes, c'est-à-dire présents partout à la fois. Grace à cette ubiqüité, tout humain est chez lui partout sur la Terre, et peut se sentir destinataire de toutes les richesses que la Terre nous propose. Le réflexe d'appropriation de ces richesses, quelqu'en soit le prétexte, apparaît aujourd'hui comme totalement injustifié. C'est donc toute notre attitude de co-locataires de la planète qu'il faut repenser, en admettant que toute richesse naturelle est offerte collectivement à tous les humains, y compris ceux de demain et d'après-demain. Imaginez les transformations qui seraient opérées si vraiment on prenait au sérieux la dernière phrase que je viens de dire :

"Admettre que toute richesse naturelle est offerte collectivement à tous les humains, y compris ceux qui ne sont pas encore nés."

6 janvier 2008

Le bébé L'eau du bain

J'ai cinquante ans, et l'impression d'avoir passé, peut-être pas tout ce temps, mais, disons, les deux-tiers de ce temps, à jouer les orpailleurs. Même en dormant ...
Bébé, eau du bain. Bébé, eau du bain. Eau sale, jeter. Bébé propre, garder. Pépite, conserver. Bébé mort, rejeter à la rivière, pour poissons. Eau propre, à boire. Eau sale, ne pas jeter le bébé. Manger le bébé, boire l'eau sale, se tromper, revenir, douter, renifler le bébé pour voir s'il est propre, laisser décanter l'eau du bain pour voir si elle est vraiment sale ...
C'est fatiguant.... Je suis fatiguée. Et toujours pas de manuel... Dès que l'on s'éloigne des fondamentaux, droit à l'air, droit à l'eau, droit à la vie, le bébé devient sale et l'eau du bain inonde la vie qui n'en finit plus de couler.
Je passerai sans doute le reste de ma vie à jouer les orpailleurs. Bébé, eau du bain. Bébé, eau du bain. Eau sale, jeter. Eau polluée, ne pas donner à boire au bébé sale. Ne pas laver le bébé avec l'eau polluée, sous peine de devoir jeter le bébé, avec l'eau sale. Comme le dauphin blanc, mort dans les eaux sales et encombrées du YangTsé.
Il paraîtrait qu'il en reste un, pourvu qu'il en reste deux, un couple si possible ...

                       

L'image vient du site www.baiji.org.

Tant qu'il y a encore des comptoirs

Une brêve de comptoir, entendue à la radio : "Les écrans plats, c'est bien ... sauf pour les chats".

Blaireau super star - Un blaireau à Paris

Un peu d'auto-promotion ne peut pas faire de mal ... Le tout étant de ne pas en abuser  ! ;-)

5 janvier 2008

CROISSANCE DES VOEUX - DU BITUME ET DES TUNES

MEILLEURS VOEUX 2008 A TOUS !

Comme je ne savais pas QUOI choisir pour vous envoyer les meilleurs et les plus beaux des/voeux/de/bonheur/et/santé/2008, je vous envoie tout ce que j'ai trouvé en vitesse ! C'est la foirfouille, vous n'aurez qu'à choisir , suivant vos goûts, le temps dont vous disposez, ou celui que votre ordi vous lira le plus facilement ;-)

Voici : des voeux musicaux écolos, des voeux intellos rigolos, des voeux décalés (dans l'espace) , des voeux décalés (dans le temps), des voeux du très-haut du ciel, des voeux du très-profond de l'eau, des voeux d'amour, de folie et de sagesse ...
QUE CETTE ANNEE VOUS APPORTE BEAUCOUP DE RICHESSES ? Je veux parler d'émerveillements/yeux ébaubis/oreilles époustouflées/ z'yeux z'humides/nez reniflant et coeurs battants /serrés, coups de gueule/écoeurements/(pour ces derniers, aucun problème, on les trouvera à satiété !) . MEME A MES AMI(e)S EN MAUVAISE SANTE... QUE LES AUTRES SE LA GARDE (La santé) ! Je souhaite également aux plus pauvres de notre pays riche de ne pas tomber malade, sous peine d'être encore plus pauvres ou de ne pouvoir se soigner ....

Mi deziras al vi la vivoforteco , la vivobeleco, la viv'amo.

Et pour la route, un dernier voeu (fichier pdf à ouvrir dans une nouvelle fenêtre) extrait du site déjà cité ...

Modification de l'article en mars 2008 : heureusement que de temps en temps, je visite mes liens ... cela me donne l'occasion de vérifier qu'ils évoluent !!! Ainsi, mes voeux d'amour, c'était une video de Jacques Brel qui chantait "quand on a que l'amour", allez-y voir maintenant, il y a une espèce de merdasse brenasse et un message de fin de non-recevoir ! au nom des sacro-saints droits de l'auteur (à ne pas être entendu ;-) )
Vous imaginez la gueule du blogue si tous mes liens ils se tortillent comme des vers ? c'est pour de bon que ce serait cocasse ! The great web n'roll swindle ....